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S’il est clair que se préoccuper du bien-être de ses salariés n’est   atteindre cet objectif : cours de yoga, séances de médiation,

       plus  une  option,  les  moyens  pour  y  parvenir  diffèrent;  Depuis   massages,  conciergerie,  espaces  de  sieste,  conseils
       quelques années, on a vu apparaître les Chief Hapiness Officers   nutritionnels… Avec ces mesures périphériques, on intervient sur
       ou responsables du bonheur au  travail. « Leur mission, c’est   l’environnement de travail plus que sur le contenu de l’activité.
       d’améliorer  la  qualité  de  vie  au  travail  des  salariés,  »  définit
       Catherine Testa, co-fondatrice du club CHO, un club de réflexion
       sur l’avenir du travail. Ils travaillent sur l’accompagnement des
       salariés au changement. Ils vont utiliser des outils comme la
       formation ou le design thinking (appliquer les méthodes d’un
       designer pour résoudre le problème), travailler en concertation

       avec les Ressources Humaines, revoir l’environnement de travail,
       …etc. ». Et les entreprises ne manquent pas d’imagination pour



                                                              Pourtant les enjeux du bien-être au travail sont multiples : le

                                                              développement de l’entreprise avec une productivité en hausse et
                                                              un engagement fort des salariés, l’attractivité de l’entreprise pour
                                                              faire  venir  de  nouveaux  talents  et  fidéliser  les  employés  et
                                                              notamment les jeunes générations pour qui le bien-être au travail
                                                              est un prérequis non négociable. Alors comment mettre en place
                                                              une politique de bien-être au travail efficace et durable ?



       Pour évaluer la qualité de la prise en charge du bien-être au travail, il existe différents outils (les labels comme Great Place To Work,
       les questionnaires de santé au travail, les indices de mesure du bien-être psychologique comme l’indice du Bien-être au Travail ou
       IBET développé par Mozart Consulting…





       Dans la prise en charge du bien-être au travail, il est important de se préoccuper de deux aspects complémentaires :

           Le développement professionnel individuel personnalisé :       Le cadre de travail bienveillant et sécurisant (environnement
       hygiène de  vie (repas  sains, activités récréatives et sportives,   confortable et fonctionnel, créant une ambiance dynamique,
       espaces de repos, services annexes permettant de réduire la   facilitant les échanges et la collaboration, organisation du travail
       charge mentale…) ; accompagnement du développement     adaptée (temps de travail, temps de récupération, définition des
       professionnel de chacun (coaching individuel ou collectif,   fonctions et missions …)
       formations, bilans de compétences…) pour une montée en
       compétences et en responsabilités des collaborateurs, sur la base
       de leur expérience et de leurs souhaits.














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